De Xavier Niel à Steve Jobs ou Alain Afflelou, beaucoup d’entre eux ont réussi sans avoir appris grâce à un programme universitaire et universitaire marqué. De nombreux autodidactes sont présents dans tous les domaines économiques, bien que certains secteurs soient plus difficiles d’accès. Pourtant, les autodidactes sont soit nus, soit considérés comme difficiles à utiliser…
L’autodidacte n’est pas un ignorant, loin de là. Il a appris par expérience, avec un programme scolaire limité au départ, parce que de nombreuses personnes autodidactes, évoluant dans les niveaux hiérarchiques, profitent des possibilités qui leur sont offertes pour suivre une formation qualificative, parfois de haut niveau. Une façon de prouver qu’ils en valent la peine. Parce que le cœur du problème autodidacte est sa légitimité dans les domaines où le diplôme reste la règle.
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Plan de l'article
- Autodidacte est souvent un passionné
- Le système scolaire n’est pas adapté à tous
- De Xavier Niel à Afflelou : Célèbre autodidactique
- Une personne autodidacte a-t-elle encore une chance aujourd’hui ?
- Le rôle indispensable de l’autodidacte
- Autodidacte : quelles données statistiques ?
- Changement d’emploi : un défi pour les autodidactes
Autodidacte est souvent un passionné
Autodidacte a des particularités. Souvent, il est un passionné, et c’est par motivation personnelle qu’il devient un vrai pro ou même un leader. Les histoires de réussite des autodidactes sont plethores. Connus ou non, ces hommes et ces femmes sont abondants. De Thomas Edison à Steve Jobs, les entrepreneurs et les génies créatifs n’avaient pas besoin de porter leur culotte sur les bancs de l’école et de l’université pour se manifester. Il est vrai qu’ils ont largement compensé ce désavantage apparent par une curiosité insatiable, de nombreuses idées et une énorme quantité de travail.
Le système scolaire n’est pas adapté à tous
Que vous soyez en France ou à l’étranger, le système scolaire tel qu’il existe au fil du temps ne convient pas à tous les profils d’enfants ou d’adolescents. Pourtant, nous ne parlons pas seulement des fameux « cancres » : les enfants parfois très intelligents et intéressants, mais n’ont pas réussi à entrer dans les boîtes éducatives nationales. Certains ont besoin de plus de temps pour le faire, d’autres ont besoin d’un enseignement plus gratuit, d’autres ne supportent pas l’immobilité, d’autres souffrent de dyslexie, etc. Difficile de critiquer l’école, car il est normal qu’elle être adaptés à la masse et non aux exceptions.
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De Xavier Niel à Afflelou : Célèbre autodidactique
Xavier Niel, Alain Afflelou, Jean Claude Bourrelier, Jacques Dessange… tant d’entrepreneurs sans complexe qui n’ont pas de diplôme et qui ont créé des entreprises et des grands groupes dans l’économie française. Normal après tout que les exemples sont plus faciles à trouver dans le secteur de la création où il n’est pas obligatoire de soumettre votre CV avant de déposer les papiers au registre du commerce. D’autant plus que les gens autodidactes souvent preuve de l’imagination ne parviennent pas toujours à avoir la bonne méthode.
La chose importante pour ces hommes dans leur chemin vers le succès est de savoir s’entourer afin de compenser les lacunes ou de s’entraîner progressivement à acquérir les qualités nécessaires. Très têtus, ils ne sont pas comptés et leur absence a priori leur est souvent bénéfique. Nous voyons, ces exemples sont contemporains et que ce soit la téléphonie, l’optique, le bricolage ou coiffure, peu importe, ils ont pu saisir l’occasion quand il se présentait. Oui, mais qu’en est-il des autres domaines, plus académiques ? En réalité, les autodidactes sont, bien sûr, forcés de partir du bas de l’échelle dans les sociétés classiques. De là pour atteindre les postes de direction réels, il y a une marge.
Une personne autodidacte a-t-elle encore une chance aujourd’hui ?
Il est connu avant, le nombre de diplômés était significativement inférieur à ce qu’aujourd’hui. Il n’y avait donc rien d’étrange il y a cinquante ou soixante ans quand certains sont venus à la direction d’une entreprise, montrant plus d’initiative, de compétences intellectuelles que d’autres sans avoir le meilleur CV du personnel. On dit qu’aujourd’hui ce n’est plus le cas et que le fait de se rendre sur le marché du travail sans diplôme conduit souvent à une véritable impasse à long terme. Une sorte de plafond de verre spécifique à cette catégorie de personnes. En théorie, tout le monde applaudit le succès de ces hommes et de ces femmes qui partent de zéro et obtiennent le haut. Mais ils ne sont pas toujours les bienvenus.
Le rôle indispensable de l’autodidacte
Le problème auquel sont confrontés les autodidactes doués vient souvent de la direction. Leur N 1 joue souvent un rôle indispensable en tant que mentor. Ceux qui redescendaient de l’échelle ont en effet été remarqués par leur hiérarchie, ce qui leur a permis de monter l’échelle, en les formant ou même en les envoyant étudier, enfin, à l’âge de 30 ou 40 ans. C’est donc l’état d’esprit de la hiérarchie qui ouvre la voie à ces personnalités. Tous témoignent, ce sont leurs gestionnaires qui les ont poussés et intéressés à de nouveaux sujets.
La confiance est présente, et le reste suit. Un homme (ou une femme) autodidacte apprend donc d’abord les autres avant d’apprendre seul, contrairement à ce que signifie le mot autodidacte. L’expérience est évidemment importante, voire essentielle, mais le potentiel de croissance et d’apprentissage doit pouvoir s’exprimer. Comme nous le savons, il y a beaucoup de domaines où les cadres sont froids, ou simplement bloqué par un système d’entreprise qui ne laisse aucune liberté. Dans ces conditions, il est normal de trouver peu d’autodidactes dans des domaines tels que l’administration ou la banque, par exemple.
Cependant, ce dernier secteur a embauché de nombreux non-diplômés, une période qui est maintenant terminée, parce que la demande est au moins bac 2. On ne peut nier que certains secteurs ne sont pas ouverts ni même fermés aux autodidactes. Au contraire, les PME et les PME jouent en France un rôle très important dans l’intégration des jeunes sans diplôme sur le marché du travail, leur permettant d’acquérir de l’expérience et de voir plus loin.
Autodidacte : quelles données statistiques ?
Les données de l’INSEE sont contradictoires : le niveau général de formation des employeurs des PME est plus élevé que celui de la population, mais la proportion de travailleurs autodidactes reste élevée, en particulier chez les personnes âgées. Pourtant, il est en baisse sur une longue tendance. Le mouvement de retraite chez les autodidactes français dans les postes de managers semble donc très réel. Chaque année, environ 120 000 jeunes sortent du système scolaire sans diplôme.
Selon l’éducation nationale, 11,9% des Français âgés de 18 à 24 ans ont quitté leur école avec un maximum de certificat de coll è g e s s s s, en particulier les garçons. Trois ans après la sortie de l’université, sont toujours au chômage : — 41 % des non-diplômés, — 24 % des titulaires d’une PAC ou d’un BEP, — 13 % des titulaires d’un baccalauréat ou d’un diplôme équivalent. Il est évident que les non-diplômés obtiennent souvent des emplois précaires, intérimaires ou à durée déterminée ; leur salaire dépasse rarement le SMIC.
Le monde économique anglo-saxon est plus accueillant pour ce type de population, puisque le CV n’est pas la preuve de la valeur de la personne, loin de là. En fait, il arrive souvent qu’un jeune soit engagé sans se soucier de ce qu’il a fait jusqu’à présent, c’est à lui de faire ses preuves pour voir s’il a une bonne tête et est susceptible de progresser. En réalité, les entreprises anglo-saxonnes sont beaucoup plus intéressées par le cours, l’expérience, tandis que le diplôme reste souvent sésame en France.
Changement d’emploi : un défi pour les autodidactes
Là où le bâtiment fait vraiment mal aux autodidactes, c’est quand ils veulent changer d’entreprise. Certains domaines sont plus ouverts, par exemple dans le commerce, mais il est nécessaire de prouver qu’on sait gérer un budget et proposer une politique commerciale lorsque vous êtes en poste de direction. Mais la plupart du temps, une fois que l’on a bien progressé dans une société, si des difficultés surgissent, il est beaucoup plus difficile pour un autodidacte de se vendre, surtout s’il doit passer par une entreprise. Non pas qu’il montre moins d’assurance ou de capacité, mais son CV sera moins facilement conservé pour une entrevue, car le diplôme représente souvent pour les cabinets d’avocats et les directions des ressources humaines une sorte de filet de sécurité. S’il a passé un certain âge, il est important de dire que la situation risque de devenir un sujet de préoccupation pour lui.